Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Le bateau de l’IFREMER est chez nous en Guadeloupe.

Le Pourquoi pas ? est un navire océanographique français de l’Ifremer et de la Marine nationale. Pour cette dernière, c’est le Service hydrographique et océanographique de la marine (SHOM) qui en est le principal utilisateur.

La commande a été passée en décembre 2002 à Alstom Marine et le navire construit aux Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire. La livraison a été effectuée en juillet 2005. Il est armé par le GIE Genavir, également armateur des autres navires de l’Ifremer. Son coût de 66 millions d’euros a été financé à 55 % par l’Ifremer et à 45 % par la Marine Nationale.

Il est utilisé 150 jours par an par la Marine nationale et 180 jours par an par l’Ifremer. Il est conçu pour des missions d’hydrographie, de géoscience, d’océanographie physique, chimique et biologique et pour mettre en œuvre des sous-marins de poche successivement tels que le Nautile ou le Victor 6000, engin robotisé.

Son nom fait référence au célèbre bateau de Jean-Baptiste Charcot,

Pourquoi pas ? (2005)

Le Pourquoi pas ? est un navire océanographique français de l’Ifremer et de la Marine nationale. Pour cette dernière, c’est le Service hydrographique et océanographique de la marine (SHOM) qui en est le principal utilisateur.

La commande a été passée en décembre 2002 à Alstom Marine et le navire construit aux Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire. La livraison a été effectuée en juillet 2005. Il est armé par le GIE Genavir, également armateur des autres navires de l’Ifremer. Son coût de 66 millions d’euros a été financé à 55 % par l’Ifremer et à 45 % par la Marine Nationale.

Il est utilisé 150 jours par an par la Marine nationale et 180 jours par an par l’Ifremer. Il est conçu pour des missions d’hydrographie, de géoscience, d’océanographie physique, chimique et biologique et pour mettre en œuvre des sous-marins de poche successivement tels que le Nautile ou le Victor 6000, engin robotisé.

Son nom fait référence au célèbre bateau de Jean-Baptiste Charcot, le Pourquoi Pas ? IV

Caractéristiques techniques

Sa propulsion diesel électrique est associée à un positionnement dynamique de classe II. Il dispose d’une autonomie en mer de 64 jours à la vitesse de 11 nœuds.

Il a une capacité tous océans à l’exception des zones polaires.

Il peut embarquer une quarantaine de scientifiques. Pour leurs analyses, ces derniers disposent de six salles blanches réparties sur plus de 1 000 m2 et d’un réseau informatique à 10 gigabits.

Pour établir des cartes marines, le navire dispose de :

  • Deux sondeurs multifaisceaux capables de dresser une cartographie des fonds marins jusqu’à 6 000 mètres de profondeur sur une bande de 20 kilomètres de large ;
  • Deux courantomètres à effet Doppler pour établir des cartes des courants jusqu’à 1 000 mètres ;
  • Un sondeur de sédiment 3,5 kHz pour caractériser la nature des premières couches du fond sous-marin.

Le navire est également équipé du système Newtsuit de Phil Nuytten pour l’aide aux sous-marins en détresse et d’un système de positionnement BUC (balise ultra-courte) permettant par acoustique de relever la position d’une balise ou d’un engin sous-marin : Nautile, Victor, instruments de mesure mouillés au fond…

Cet article vous plaît ? Partagez-le

Toutes nos actualités et conseils

Envie de prendre le large ?

Naviguez vers d’autres horizons…

Permis Bateaux Guadeloupe